Venise sur Nil à Central Park

Non, vous ne rêvez pas, il y en a qui vont vivre tout cela en une seule soirée!!!!

Première étape : le Metropolitan Museum of New York à Central Park, chouette !

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Deuxième étape : l’aile des antiquités égyptiennes, ooooohhh!

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troisième étape : le Grace Rainey Rogers auditorium, salle de concert au sein du musée, aile égyptienne…

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Elles se posent, elles s’asseyent, elles écoutent, elles viennent du Québec pour ça…

Ce post, juste pour leur dire que toutes mes pensées les plus douces les accompagnent.

Chère Dominique, que l’amatrice d’art émérite que tu es se régale de ce concert dans un tel lieu. Et toi, Aline l’éternelle voyageuse, que ce voyage en symbiose mère-fille te comble. Profitez bien, comme on dit à Liège!

Hum, vous me raconterez?

  

4 commentaires sur “Venise sur Nil à Central Park

  1. BIG APPLE, nous voici!
    ça va être vertigineux et romanesque, gourmand et rigolo, ludique et voluptueux……les cartes postales seront envoyées, promis!
    Je sais déjà qu’il me faudra y retourner, car trop de tout à voir, regarder, apprendre, apprécier, s’étonner et rire, surtout rire……
    je vais me concentrer sur peu de choses, mais bien à mon contentement, comme toujours: pas de marathon ridicule et fatiguant. Je ne connais pas le scénario de ma fille. Mais pour sur, on commence par l’Égypte, ou alors l’empire State Building…je vous donnerai des nouvelles de King Kong. Ne pas oublier les bananes.
    Je vous bise réjouie. Bye bye. Je suis partie!

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  2. De retour de cette odyssée merveilleuse: Empire State Building incongru et magnifique dans cet univers longiligne. Il est élégant, tout doré scintillant, et le vent fou tout en haut nous a joué les coiffeurs maléfiques! King Kong était bien là mais en affiches, l’oncle Sam gigantesque et mauvais, et la statue de la Liberté aussi, mais de bien mauvaise humeur! les deux statues affichaient vraiment leur mécontentement!
    Times square tout petit en surface effective, mais quelle exubérance lumineuse, absolument irréelle. On reste là bouche bée dans les bourrasques glacées, mais pas grave, c’est sans épithète possible!
    Central Park que nous devions traverser pour rejoindre le Met, sous une fine petite neige, dans un soleil pale nous mettait littéralement dans un film de Woody Allen!
    Le Met: torture suprème de l’amateur muséal! C’est tellement vaste et rempli de merveilles. Première surprise: statues, tableaux et le reste sont à portée de main et on peut tourner autour sans problème. Pas de barrière, de fil électrique ou autre. Puis le temple ci-haut mentionné: une merveille d’émotion. L’enfilade de colonnes et de pièces se rétrécissant pour aboutir tout au fond à la petite divinité, mais qui en est le principal élément, rend muet de respect.
    Et maintenant la pièce de choix: le récital…ah! découverte indicible. Petite salle très confortable et élégante. Pour y arriver nous devions repasser par des salles égyptienne, dans la pénombre et on sentait l’énergie des lieux qui ne sont plus, alors, du tout les mêmes!
    Orchestre élégant, mais à mon plus grand étonnement, drôle! oui, P.Jarousskky et quelques musiciens se font des farces, ont des coups d’œil coquins, toute la salle a ri à 4 ou 5 reprises! Le chanteur est un véritable phénomène, sa voix est pure et interminable, mais où va t’il chercher tout cet air pour chanter? c’est envoutant. Puis je me suis rendue compte que sur scène on entend vraiment chaque instrument, même le luth qui pourtant ne porte pas loin. Nous étions au dernier rang, le long de l’allée. Nous n’avons rien manqué et nous entendions parfaitement bien, car il ne faut pas oublier qu’ il n’y avait aucun micro! ce monsieur est une énigme bien agréable à écouter.
    Nous sommes sorties de là dans un bien-être fou. Cette soirée magique nous l’avons finie avec un très joli souper de fin de soirée et une flute de champagne en l’honneur de nos émotions et du bonheur.
    Je vais commencer à chercher des concerts ici, si mon emploi du temps me le permet…je veux encore de cet envoutement serein!
    Merci Rita du fond du cœur, car c’est à toi que je dois d’avoir décidé ce voyage et ce bonheur musical.
    Bonne musique à tous et chacun.

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  3. Dominique, j’en ai les larmes aux yeux… tellement heureuse d’avoir pu te donner ce petit coup de pouce pour découvrir NY et mon cher Philippe. Tous les commentaires et photos qu’Aline a pris la peine de m’envoyer sur fb, quelle délicate attention de votre part! Juan et toi trônez en bonne place dans ma galerie de photos. Thierry est à NY après bien des péripéties : avion retardé puis annulé, il a dû se carapater jusqu’à Roissy en Thalys pour pouvoir embarquer. Il est en fin arrivé complèrement grillé et passablement énervé, tu l’imagines! Ah, il se souviendra de son w-e, mais pas pour les mêmes raisons que toi, le pauvre! Il a déjà vécu pas mal d’aventures avec les « avions » congolais quand il va à Kinshasa mais là, je crois que c’est le pompon ! Bisous liégeois à toi et à tous ceux que tu aimes.

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